29/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: JEAN-MARIE SOTIN DE LA CONDIERE AUX CITOYENS DE LA LOIRE INTERIEURE
LA BOÎTE A LETTRES
JEAN-MARIE SOTIN DE LA CONDIERE
AUX
CITOYENS DE LA LOIRE INTÉRIEURE
01:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, stendhal, sophie d'uvaucel, lettre, plaisir, revenir, saint-pierr, fête, paraesse, acte manqué, trouver, pavé, marbre, église, joncher, fleur, feuille, laurier, meurtrir, répandre, odeur, suave, fort, convenir, nerfs, jolie, femme, ^m, doux, dstinée, frapper, délicatesse, patriotisme, ardent, indigné, mépris, sincère, haine, estimer, se mêler, affaire, publique, expérienc, expérimenter, préfet, haile, rappeler, net, clair, budget
28/08/2013
SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS FERIONS LA GREVE
SI NOUS VIVIONS EN 1903
NOUS FERIONS LA GRÉVE
Retour il y a 100 ans. Aujourd'hui, la grève. A cette époque, les syndicats étaient faibles. Il existait une mystique de la grève : c'est plus qu'une action, elle éduque, aguerrie, entraide et crée... Et elle avait d'importantes répercussions sur la vie privée.
17:07 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : antoine prost, au magma présent de l'écriture, vivre, faire la grève, retour, époque, syndicat, faible, faiblesse, amour, amitié, exister, mystique, action, actionner, éduquer, éducation, aguerrir, entraid, entraider, créature, crér, important, répercuter, répercussion, vie privée, marcel merkès, paulette merval, folamour
DISSONANCES DÉLIBÉRÉES
DISSONANCES DÉLIBÉRÉES
Briser, libérer, émanciper, enlacer, interroger le mot,
Écrire sans structure définie ni retenue castratrice,
Sans autre objectif que celui de dénicher
Quelques rares pépites jaillissant, impromptues,
De l’humus parfois désespérément stérile des mots.
Une approche plus conventionnelle
Impose d’emblée l’astreinte cérébrale
Qui aboutira, la plupart du temps,
A des résultats à la trame aléatoire.
Faut-il alors suggérer, comme le disent certains,
Que ces poètes-là ne sont que de tristes fossoyeurs
Portant en noire sépulture les mots de demains,
Alors qu’ils en sont la mémoire vivante sauvegardée ?
S’acharner à versifier pour le bien décidé de l’humanité,
Je laisse à d’autres compétences le soin de s’y aventurer.
Il m’est tellement plus viscéral de brouiller les pistes
En créant çà et là de singulières arythmies volontaires,
Des césures inopportunes ou des dissonances délibérées
Dans le but avoué, et assumé, de parvenir certaines fois,
A perturber, d’un enjôleur clin de plume, l’insaisissable absolu.
Briser, libérer, émanciper, enlacer, interroger le mot,
Écrire sans structure définie ni retenue castratrice.
P. MILIQUE
09:47 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, dissonance, délibéré, briser, libérer, émanciper, enlacer, interroger, écrire, structure, définir, retenue, castratrice, objectif, dénicher, rare, pépite, jaillir, impromptu, humus, désespérance, stérile, approche, conventionnel, imposition, d'emblée, astreinte, cérébral, aboutir, résultat, trame, aléatoire, suggérer, poète, triste, fossoyeur, porter, noir, sépulture, mémoire vivante, sauvegarder, s'acharner, versifier, décider, humanité, laisser à d'autres, compétence, soin, s'aventurer, viscéral
ORGUES MARINES DE ZADAR (CROATIE) le 27 Septembre 2010
(Captation Personnelle)
ORGUES MARINES
DE
ZADAR
(CROATIE)
le 27 Septembre 2010
05:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, orgues marines, zadar, croatie, captation, personnalité, zagreb, dubrovnik, split, bosnie, slovénie, montenegro, gorges de katar, herzégovine
LA BOÎTE A LETTRES: STENDHAL A MADEMOISELLE SOPHIE D'UVAUCEL
LA BOÎTE A LETTRES
STENDHAL A MADEMOISELLE SOPHIE D'UVAUCEL
(© Musée des Lettres et Manuscrits)
Mademoiselle Sophie d'Uvaucel, chez
M. le Baron Cuvier, an Jardin du Roy, à Paris.
Rome, 28 Avril [1831].
Mademoiselle,
Votre lettre me fait le plus grand plaisir. Je reviens de Saint-Pierre où il y avait une fête. Ma paresse me l'a fait manquer. J'ai trouvé le pavé de marbre de l'église jonché de fleurs et de feuilles de laurier. Ces feuilles un peu meurtries répandaient l'odeur la plus suave, point trop forte, ce qui convient à mes nerfs de jolie femme. Mon âme était bien disposée. Votre lettre a paru comme un jour doux destiné à frapper des yeux délicats. Dans mes jours de patriotisme ardent, elle m'eût indigné. Je méprise sincèrement, et sans haine, la plupart des gens que vous estimez. Pour se mêler d'affaires publiques, il faut de l'expérience. Peut-être M. Dejean, ou tout autre jeune homme nommé préfet par M. Guizot, sera-t-il un homme habile en 1840. Mais rappelez-vous que l'œil du public voit nettement et clairement au bout de six mois ce qui se passe dans le cœur de tout homme qui reçoit plus de 20.000 francs du budget et le rôle de Pénélope est dangereux. Mais parlons de fadaises. Vous avez vu quelques très jeunes gens faire de grandes fortunes. Soyez convaincue que quelles que soient les phrases et les apparences, pendant deux ou trois mois de leur vie, ils ont été comme Julien. De 1806 à 1813, j'ai été à peu près aide de camp de M. le comte Daru. Il était très puissant à Berlin en 1806, 7, 8, à Vienne en 1809. J'étais dans une sorte de faveur à Saint-Cloud en 1811. Je vous assure que personne n'a fait une grande fortune sans être Julien. La forme de notre civilisation exclut les grands mouvements, tout ce qui ressemble à la passion.
De là, le rôle pitoyable des femmes. La société actuelle ne les emploie que comme intrigantes. Voyez MMmes Récamier, Pastoret, Rumfort. Il faut pour avancer être doux, humble, faire vingt visites en bas de soie par semaine. Un jour que le protecteur s'ennuiera, un jour de pluie à Saint-Cloud, au mois d'octobre, un trait de bassesse bien placé vous vaudra une préfecture. Je méprise les charges. Julien n'est pas si futé qu'il vous le paraît.
Le jeune homme de dix-huit ans est niais à Paris. Il songe toujours au modèle à imiter. Et quelques-fois il y a quatre règles contradictoires sur la façon dont il faut tirer son mouchoir de sa poche chez une duchesse. Cette perplexité au moment où il s'agit de choisir entre des règles contradictoires, aidée par les trois changements de tenue par 24 heures, qui ont lieu à Paris est cause de la niaiserie. Nos jeunes paysans du Dauphiné savent très bien suivre leur intérêt. J'aime à discuter sur le cœur humain, chose difficile avec les Françaises, qui presque toujours mentent pour se conformer à la règle 1451 qui régit leur conduite ou à la règle 8.600. Votre lettre est infiniment plus sincère qu'aucune que vous m'ayez écrite. Elle ne blâme pas assez le roman en question. Vous avez adouci. Il fallait m'écrire le premier jour. II y avait à Venise un homme qui, pour aimer sa femme, avait besoin qu'elle lui donnât des soumets. Je suis cet homme. Rien ne m'ennuie comme le compliment. Si j'en avais 10.000 comme cela, pense-je, on me ferait baron et académicien. Mais que faire d'un fagot ou deux? Cela ne suffit pas pour chauffer le four. Soyez donc, je vous en supplie, Mademoiselle, ultra-sincère avec moi plus le soufflet sera fort, plus je sentirai la vie.
Mme Az[ur] me croit l'original de Julien parce que pour être nommé Inspecteur du Mobilier, le général Duroc qui m'aimait (par parenthèse à cause de ma sincérité) voyant fils de noble chevalier Beyle dans mon extrait de baptême, me donna le De Beyle dans le projet de décret qui fut signé le 11 août 1810. Alors commença pour moi l'époque du plus grand bonheur. Pour en revenir, la lettre de Mme Az[ur] qui m'accable des plus grands mépris, a fait toute ma joie pendant un voyage que j'ai fait à Capo d'Istria et j'y songe encore après un mois. Si j'avais voulu faire le Julien dans le salon de M. Aubernon, chez M. Pastoret que je ne suis jamais allé voir au Luxembourg,' chez M. de Lafayette, etc., etc., je serais tout au moins préfet de Guéret. Mais je serais destitué, car certainement j'aurais administré comme M. Pons de l'Hérault, préfet du Jura. Gardez cette ligne pour vous. Elle me porterait dommage dans ma retraite. De 15.000 je suis tombé à 10.000.
Si je tombais plus bas, il n'y aurait pas moyen de vivre avec la dignité nécessaire. Ici, je veux dire au midi des Apennins, le public n'est dupe d'aucune affectation. Vous avez beau vous étaler avec une noble négligence sur quatre chaises à la promenade, la canaille ne vous estime qu'au prorata de la dépense que vous faites. Nous avons pour ennemis les libéraux depuis Bologne1, les ultras depuis 1789. Le rôle d'un agent français est difficile, très difficile. Il faudrait en avoir moins et les mieux payer. Autrement je me renfermerai dans une nullité complète comme mon prédécesseur, qui s'est mis cependant à danser dans l'unique café de ma ville en apprenant la nouvelle des ordonnances du 25 juillet 2. J'ai passé cinq jours à Florence sans trouver le temps de monter à la Galerie ou d'aller au Palais Pitti. J'ai cherché la vérité, j'ai écrit quatre dépêches à mon ministre. Celle qui décrit ce qui a failli se passer à Florence vous amuserait.
Comme vous êtres Française, il faut ici placer une petite batterie contre le ridicule, donc. vous amuserait, non certes à cause du talent du narrateur, mais par le caractère plaisant des acteurs. Ma dépêche étant sincère aura déplu. Je me le disais en l'écrivant.
Mais par le plus grand des hasards, il peut se trouver un homme de mérite, un Mérimée, dans les bureaux, et je serais bien aise qu'il se dise « Celui-là n'est pas si niais que les autres. » A seize ans, mon père m'a donné 150 fr. par mois pour venir me faire recevoir à l'École Polytechnique. Or cela se passait en 1799. Les nigauds à demi-hypocrites que vous estimez vous mènent tout droit à la Grande Colère du Père Duchêne. Le tigre se réveillera pour repousser l'étranger qui nous méprise et nous donnera tant de soufflets qu'il faudra finir par où il fallait commencer. L'opération n'eût pas duré plus de six mois. Dans l'état actuel du malade, elle durera trois ans. Je vous offre refuge dans une forêt à trois lieues de mon endroit. Ceci est sérieux. Faute de bonne foi, vous êtes flambés. Comprenez-vous l'admirable finesse de mon langage ? Rien de mieux établi que notre correspondance. Rien ne se perd. Daignez donc m'écrire plus souvent. Mes respects à M. et à Mme C[uvier] et à Mme Martial. Dites à tous les niais que je suis devenu très grave, très profond, très digne du docto corpore où je suis. Au fond quelques phrases plus ou moins piquantes me coûtent 5.000 fr. C'était tout le superflu, chose si nécessaire. Ce malheur doit m'ôter la colère et l'envie des sots. Au reste j'ai pitié d'eux ils vont avoir une belle venette d'ici à quelques mois. Voulez-vous le remède ?
Recipe: Sincérité et bonne foi.
01:43 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, stendhal, sophie d'uvaucel, lettre, plaisir, revenir, saint-pierr, fête, paraesse, acte manqué, trouver, pavé, marbre, église, joncher, fleur, feuille, laurier, meurtrir, répandre, odeur, suave, fort, convenir, nerfs, jolie, femme, ^m, doux, dstinée, frapper, délicatesse, patriotisme, ardent, indigné, mépris, sincère, haine, estimer, se mêler, affaire, publique, expérienc, expérimenter, préfet, haile, rappeler, net, clair, budget
27/08/2013
BRUME D'ÉMOTION
BRUME D'ÉMOTION
C’est presque inéluctable en la mémoire de chacun :
Enfoui avec soin dans la friche de sa jungle invisible
S’affiche la réalité douceâtre d’une souterraine nostalgie.
Souvenirs émus de ce qu’étaient le lieu, la durée, l’espace.
Perception d’un ébranlement murmuré. Brume d’émotion.
Certitude d’un passé gravé pour traduire l’écoute de l’avenir.
Voilà qu'apparaît, feutré dans l’aveuglant halo de lumière,
Le constat revigorant d’une vie qui, intense plaisir rétroactif,
Se révèle exhaler un goûteux fruit muri à l’ensoleillé du ciel.
P. MILIQUE
09:41 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, allain leprest, hélène hazèra, brme, émotion, inéluctable, mémoire, enfouir, soigner, friche, jungle, invisible, s'afficher, réalité, douceâtre, souterrain, nostalgique, souvenir, ému, tenir lieu, durée, espace, perception, ébranler, murmurer, certitude, passé, graver, traduire, écoute, avenir, apparaître, feutré, aveuglant, halo de lumière, constat, revigorer, vie, intense, plaisir, rétroactif, se révèler, exhaler, goûteux, fruit, murir, ensoleillé, ciel
LA BOÎTE A LETTRES: ANDRE SUARES, LE 21 novembre 1915
LA BOÎTE A LETTRES
ANDRÉ SUARES,
LE
21 novembre 1915
01:19 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, au magma present de l'écriture, verlaine, rédacteur, masculin, dernier, antépénultième, paraître, mort, journeaux, permettre, permission, prendre, parole, qualiter, habiter, habitation, monde, affaire, sépulcrale, excellence, sépulture, de villiers, l'isle en dodon, adam et ève, souscription, produire, fond, nécessaire, décider, monument, élever, la tombe du poète, ensevelir, restes humains, enlever, cimetierre, batignolles, reposer en paix, transporter, père lachaise, confondre, banalité, nécropole, thiers, se pavaner, temple, ridicule, ridiculiser, alfred de musset
LA BOÎTE A LETTRES: ANDRE SUARES, LE 21 novembre 1915
LA BOÎTE A LETTRES
ANDRÉ SUARES,
LE
21 novembre 1915
01:19 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, au magma present de l'écriture, verlaine, rédacteur, masculin, dernier, antépénultième, paraître, mort, journeaux, permettre, permission, prendre, parole, qualiter, habiter, habitation, monde, affaire, sépulcrale, excellence, sépulture, de villiers, l'isle en dodon, adam et ève, souscription, produire, fond, nécessaire, décider, monument, élever, la tombe du poète, ensevelir, restes humains, enlever, cimetierre, batignolles, reposer en paix, transporter, père lachaise, confondre, banalité, nécropole, thiers, se pavaner, temple, ridicule, ridiculiser, alfred de musset
26/08/2013
PENSÉE MOUVANTE
PENSÉE MOUVANTE
Essayer, essayer encore d’embraser l’espoir,
Jusqu’à ce que l’exacte lueur de vie s’ensuive
J’essaie ainsi de panser mes plaies vives,
A mon âme endolorie d’apporter les bienfaits
D’une destinée pastel, de couvrir d’aquarelle
Et de dentelle ouvragée l’existence nécessiteuse.
Qu’il est bon d’entendre le carillon tinter le beau
D’une pensée mouvante enfin sortie de l’obscur
D’un esprit qui s’ouvre au-delà de l’émotionnel.
Avenir radieux qui tel un boomerang va revenir
Puisque hors cette perspective, rien ne peut être.
Essayer, essayer encore d’embraser l’espoir,
Jusqu’à ce que l’exacte lueur de vie s’ensuive.
P. MILIQUE
09:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, pensée, mouvant, émouvant, essayer, embraser, espoir, exactitude, s'ensuive, lueur, panser les plaies, vive, âme, endolorie, apporter, bienfaits, destinée, pastel, couvrir, aquarelle, dentelle, ouvrager, existence, nécessiteux, entendr, carillon, carillonner, tinter, beau, sortir, obscur, esprit, ouvrir, irrationnel, émotionnel, avenir radieux, boomerang, revenir, perspective, staphilocoque, coliforme, la lunette des toilettes
LA BOÎTE A LETTRES: VAN GOGH, 29 JANVIER 1890
LA BOÎTE A LETTRES
VAN GOGH, 29 JANVIER 1890
01:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, au magma present de l'écriture, verlaine, rédacteur, masculin, dernier, antépénultième, paraître, mort, journeaux, permettre, permission, prendre, parole, qualiter, habiter, habitation, monde, affaire, sépulcrale, excellence, sépulture, de villiers, l'isle en dodon, adam et ève, souscription, produire, fond, nécessaire, décider, monument, élever, la tombe du poète, ensevelir, restes humains, enlever, cimetierre, batignolles, reposer en paix, transporter, père lachaise, confondre, banalité, nécropole, thiers, se pavaner, temple, ridicule, ridiculiser, alfred de musset
LA BOÎTE A LETTRES: VAN GOGH, 29 JANVIER 1890
LA BOÎTE A LETTRES
VAN GOGH, 29 JANVIER 1890
01:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, au magma present de l'écriture, verlaine, rédacteur, masculin, dernier, antépénultième, paraître, mort, journeaux, permettre, permission, prendre, parole, qualiter, habiter, habitation, monde, affaire, sépulcrale, excellence, sépulture, de villiers, l'isle en dodon, adam et ève, souscription, produire, fond, nécessaire, décider, monument, élever, la tombe du poète, ensevelir, restes humains, enlever, cimetierre, batignolles, reposer en paix, transporter, père lachaise, confondre, banalité, nécropole, thiers, se pavaner, temple, ridicule, ridiculiser, alfred de musset
25/08/2013
SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS VIVRIONS A LA CAMPAGNE
SI NOUS VIVIONS EN 1913
NOUS VIVRIONS A LA CAMPAGNE
Retour un siècle en arrière. Même s'il n'y avait pas que des paysans à la campagne, en 1913, il y avait entre 7 et 8 millions d'agriculteurs qui vivaient en zone rurale. Leurs conditions de vie étaient très variables.
Paysans et chaumière en Ardèche cévenole © wikimedia commons - 2013
17:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, antoine prost, vivre, siècle, vacances, baimmeul, intérieur, gare, ferroviaire, époque, épopée, personne, partir en vacances, rentier, profession libérale, fonctionnaire, commerçant, nseignant, pouvoir, permettre, permission, ouvier, ouverture, s'arrêter, travailler, choix, choisir, marteau-piqueur, retour, retourner, arriéré, paysan, campagne, agriculteur, zone rurale, condition de vie, variable, variabilité, notion de temps, éclabousser, boue, froid, faim, mal d'amour, métro, taxi